Admise au Barreau en septembre 2024, Me Marie Laverdure pratique au sein de l’équipe de droit de la famille du bureau montréalais de Dunton Rainville et axe sa pratique en droit de la famille et en protection de la jeunesse.
Me Laverdure a effectué son stage du Barreau au sein du cabinet avant d’y débuter sa carrière. Sensible et à l’écoute, elle met tout en œuvre pour identifier des solutions personnalisées à la situation de ses clients.
Apprenez à la connaître davantage avec ces 5 questions!
Me Laverdure, pourquoi avoir choisi Dunton Rainville?
J’ai tout d’abord effectué mon stage du Barreau au sein du cabinet, dans l’équipe de droit de la famille, où je débute maintenant ma carrière d’avocate. J’ai choisi Dunton Rainville parce que j’avais beaucoup entendu parler du cabinet et de son équipe de droit familial tout au long de mon parcours universitaire. Je voulais débuter ma carrière dans une équipe réputée dans le domaine, et plusieurs mentors, pendant mon parcours, m’ont suggéré de déposer ma candidature au cabinet. Mon choix s’est confirmé après avoir effectué mon stage du Barreau au sein de cette équipe!
Qu’est-ce qui vous a attirée vers la profession d’avocate?
Je crois que c’est l’aspect relationnel du métier qui m’a attirée en premier lieu. Particulièrement en droit familial, on travaille avec des clients qui se trouvent souvent dans une situation vulnérable. J’aime pouvoir les aider à résoudre des situations difficiles en leur apportant mes connaissances et mon expertise.
J’aime également l’aspect du travail d’équipe qu’il y a dans le domaine juridique. De plus, j’adore plaider et argumenter!
Qu’est-ce qui vous stimule au quotidien?
J’aime beaucoup mes collègues, que j’ai appris à connaître lors de mon stage du Barreau. Tout le monde est particulièrement bienveillant et je me sens guidée par les membres de mon équipe. J’ai confiance en eux et en leur expertise.
Quelles sont les forces et les qualités requises pour votre travail?
La première qualité qui me vient à l’esprit est l’écoute. L’écoute, non seulement pour les clients lorsqu’ils racontent la situation dans laquelle ils se trouvent, mais aussi pour les avocats en partie adverse, pour en arriver à une entente.
L’empathie est aussi une qualité essentielle dans mon travail. On doit comprendre les besoins de nos clients pour formuler des réponses et des approches qui leur conviennent.
Qu’est-ce que vos collègues et clients ne connaissent pas de vous qui pourrait les surprendre?
Avant d’étudier le droit, j’ai étudié en soins infirmiers à l’Université McGill et je suis diplômée de l’Ordre des infirmiers et infirmières du Québec. J’ai travaillé comme infirmière avant d’entamer mon baccalauréat en droit à l’Université de Montréal. J’aimais beaucoup l’aspect relationnel qui était imbriqué dans cette profession. J’aimais le lien qui se développait avec les patients et avec la famille des patients, mais j’aimais moins l’aspect médical de la profession.
En tant qu’avocate, je trouve que ma carrière combine tout ce que j’aimais de la profession d’infirmière tout en s’alignant plus dans mes intérêts.